Voici mon interview par konbini, sur la présence du genre "viol" dans les catégories de vidéos porno.
En effet, on peut encore trouver cette catégorie, dans les vidéos clubs, au même titre que le "SM", les vidéos "Gay" et "lesbiennes", ou de "masturbation etc...
Si maintenant l'essentiel de la pornographie se passe en ligne, cela n'a pas toujours été le cas, et avant, les tabous et "perversions" se vendaient à prix d'or. Alors pourquoi peu-on encore trouver ces types de vidéos en libre service, surtout après #metoo ?
Comme l'article l'explique bien, les fantasmes de violences sont en réalité plus courant qu'on ne le pense. Déjà parce que cette violence existe. Avec près d'un tiers des femmes victimes de violences , une sur sept de viol ; il n'est plus possible maintenant de nier cette réalité. De nombreuses personnes victimes, hommes ou femmes d'ailleurs, peuvent avoir besoin de voir de l'extérieur ces scènes afin de mieux comprendre ce qu'il s'est passé. Cela est un sujet qui revient de temps à autre en thérapie et il n'y a pas à en avoir honte. Ce visionnage peut permettre parfois d'exorciser la douleur et de reprendre le contrôle sur les événements.
Mais alors que penser de ces fantasmes 'que l'on soit victime ou non d'ailleurs) ? doit-on les interdire ? la suite dans l'interview....
Merci à Clothilde Bru